Traditionnel et annuel rendez-vous de l’Université de la Nouvelle-Calédonie (UNC), l’établissement a donné une conférence de presse post-rentrée scolaire ce mardi afin de donner les tendances de l’année 2023, mais surtout dresser le bilan de l’année précédente. Focus grâce au reportage de nos partenaires de CALEDONIA.
Plus de 3 000 jeunes Calédoniens inscrits à l’UNC pour cette année 2023, premier chiffre donné par l’établissement lors de sa conférence de presse annuelle d’après-rentrée scolaire. Si l’UNC a profité de ce rendez-vous pour faire un point sur les différentes formations proposées cette année, pour rappeler les différents dispositifs d’aides mis en œuvre, ou encore les événements qui seront proposés tout au long de l’année, c’est aussi et surtout le bilan de l’année précédente qui était attendu. Une attente récompensée, puisque l’UNC met en avant une année 2022 au beau fixe, particulièrement porteuse en termes de diplômes à tous les niveaux, et de très bons retours sur les filières professionnelles, notamment dans l’alternance.
Catherine Ris, présidente de l’Université de la Nouvelle-Calédonie, en témoigne au micro de nos confrères de CALEDONIA : « En 2022, nous avons diplômé près de 700 étudiants, ce qui est une belle année en termes de diplomation, avec des diplômes qui vont du niveau Bac avec le DEAU (Diplôme d'Accès aux Études Universitaires) ou la capacité en droit, jusqu’au bac +8, on a livré plusieurs doctorats dans des domaines très divers, en passant par les licences, les DUT, et bien sur les masters. C’est donc une année satisfaisante en termes de diplomation et qui nous permet surtout de conforter cette direction qu’a pris l’université en particulier dans les formations professionnalisantes. On a eu des taux de réussites très élevés dans les formations professionnalisantes, en particulier dans les formations en alternance qui sont une très belle opportunité pour les jeunes, à la fois de pouvoir alterner entre connaissance académique et application pratique dans les entreprises, mais également d’avoir un statut qui leur permet d’être rémunéré et de poursuivre leur étude, là où peut-être ils ne l’auraient pas fait sans ce revenu ».
Damien Chaillot
