L’Agence de services et de paiement a procédé, le 10 février, au versement de l’aide nationale surfacique destinée aux planteurs de canne à sucre ayant livré leur récolte aux sucreries lors de la campagne 2024.
D’un montant total de 3 millions d’euros, financé par l’État, ce dispositif vise à compenser une partie des surcoûts de production supportés par les agriculteurs ultramarins, en comparaison avec les exploitations de betterave sucrière dans l’Hexagone.
L’aide est fixée à 447 euros par hectare de canne livré aux sucreries de Gardel et de la Société sucreries et rhumeries de Marie-Galante (SRMG). Malgré un contexte budgétaire contraint, le ministère de l’Agriculture a priorisé ce paiement, conformément aux engagements de la convention canne 2023-2028.
Damien Chaillot