Le nouveau président de l’Assemblée territoriale de Polynésie, Antony Géros, est invité à participer du 4 au 8 juillet à la 48ème session de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie. Il siégera en tant que vice-président au titre de la région Asie-Pacifique lors de la réunion du bureau et participera également à l’Assemblée plénière. Un sujet de notre partenaire Radio 1 Tahiti.
Antony Géros part en mission. Le nouveau président de l’Assemblée territoriale, élu le 11 mai dernier, est invité à participer du 4 au 8 juillet à la 48ème Session de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie, une organisation liée à l’Organisation Internationale de la Francophonie et qui a pour mission de créé des liens entre les organes législatifs des pays membres. Après la réunion du bureau de cette assemblée parlementaire à Tahiti en février dernier, cette session annuelle se tient cette année à Tbilissi, en Georgie.
Deux temps forts sont à retenir : une nouvelle réunion du bureau dans lequel Antony Géros siégera en tant que vice-président au titre de la région Asie-Pacifique, le mardi 4 juillet. Puis l’assemblée plénière, qui réunit pas moins de 91 institutions parlementaires nationales ou territoriales venus des 5 continents, et qui aura lieu le 7 juillet. Un déplacement qui s’inscrit « dans la continuité de l’action de son prédécesseur », Gaston Tong Sang, particulièrement investi dans les travaux de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie, et qui en avait même été médaillé, comme Flora Devatine et Joseph Maroun, lors de la dernière réunion à Tahiti. C’est d’ailleurs le maire de Bora Bora qui avait fait adhérer l’Assemblée de la Polynésie à l’organisation en 2019.
Les élus se réuniront donc dans le cadre de réunions de travail de ses instances afin de « préparer et d’adopter des avis, des résolutions et des déclarations sur les grands enjeux politiques de la communauté francophone ». Des textes qui seront ensuite « transmis aux chefs d’État et de gouvernements ». Pour Antony Géros, il s’agit « de faire rayonner la Polynésie française et de porter la voix des Polynésiens » en mettant en avant « la situation géographique stratégique de notre pays et les enjeux particuliers qui en découlent », précise le communiqué de l’Assemblée territoriale.
Vaitiare Pereyre-Gobrait pour Radio 1 Tahiti