Nouvelle-Calédonie : L'industriel minier KNS signe un partenariat avec l’Université de Nouvelle Calédonie

Nouvelle-Calédonie : L'industriel minier KNS signe un partenariat avec l’Université de Nouvelle Calédonie

L’industriel minier du Nord KNS a signé un partenariat avec l’Université de Nouvelle-Calédonie (UNC), pour le financement et le développement du Campus universitaire de Baco, à Koné.

Un partenariat et un investissement notable acté par le groupe KNS pour le développement de l’antenne Nord de l’UNC, à Koné. 2 millions de Francs CFP (16,700€) engagés afin de financer l’achat de matériel, notamment informatique, mais aussi apporter un soutien au financement de manifestations et de projets étudiants. Le Campus de Baco, inauguré en juillet 2020 alors que le monde découvrait la crise sanitaire, a depuis connu un lancement perturbé par les différentes vagues de Covid-19.

Catherine Ris, présidente de l’Université de Nouvelle-Calédonie, évoquait les projets qui bénéficieraient du partenariat signé avec KNS au micro de nos confrères de CALEDONIA : « Ce partenariat entre l’Université et KNS nous permet de financer une partie de ce qui peut accompagner les études et la vie étudiante sur le campus de Baco. Ça passe par l’accompagnement du financement des formations, qui sont ouvertes ici avec notamment la licence économie-gestion, mais également l’organisation de manifestations culturelles et scientifiques, des conférences, des événements qui auront lieu sur le campus, et puis l’accompagnement des œuvres universitaires, l’accompagnement social des étudiants, notamment au travers de l’Epi, leur épicerie solidaire ».

Pour Alexandre Rousseau, directeur des ressources humaines et communication de KNS, il s’agit d’un geste de responsabilité sociale, mais aussi une forme d’investissement : « C’est important pour nous d’assumer notre rôle de responsabilité sociale d’entreprise, mais également ça a nature d’investissement puisque ça va enrichir le bassin d’emplois sur la zone et les profils qui peuvent être amenés à venir travailler chez nous, ou pour encadrer les reprises d’études qu’on sponsorise chaque année au sein des employés de notre entreprise ».

Damien Chaillot