Aérien : French bee renforce son programme de vol cet été, et assure être la moins chère entre Paris et Tahiti

Aérien : French bee renforce son programme de vol cet été, et assure être la moins chère entre Paris et Tahiti

La compagnie low-cost long courrier du groupe Dubreuil a annoncé un renforcement de ses vols vers les États-Unis pour l’été prochain. Elle assure aussi être la moins chère entre Paris et Tahiti, qu’elle dessert via San Francisco.

French bee passe à l’offensive. Après avoir réceptionné ses derniers appareils, des A350-1000 du constructeur Airbus, et lancé ses dernières destinations nord-américaines, Los Angeles et Miami, la compagnie va renforcer ses vols vers les États-Unis à partir de début juin.

Vers San Francisco par exemple, la compagnie annonce jusqu’à six vols directs par semaine, contre trois directs actuellement, depuis sa base d’Orly. Les destinations New York et Los Angeles seront opérées jusqu’à un vol par jour, toujours en direct, contre 4 à 5 par semaine actuellement. Enfin, Miami, destination la plus récente du programme de la compagnie, bénéficiera de quatre vols directs par semaine.

Jusqu’à 25% moins chère vers la Polynésie

Quant à ses destinations Outre-mer, French bee continuera à desservir La Réunion dix fois par semaine en vols directs, avec une capacité et une offre de sièges augmentées puisque cette destination est assurée en A350-1000, plus grands que les A350-900, réservés aux grandes villes américaines et à la Polynésie.

Pour la Polynésie française d’ailleurs, French bee restera à trois vols par semaine entre Paris-Orly et Tahiti. Et sur cette destination complexe à opérer et récemment sujette à une concurrence florissante avec l’arrivée temporaire de Delta Airlines, French bee assure être la moins chère : en haute saison par exemple, elle affiche des prix jusqu’à -6% par rapport à Air France, et -25% par rapport à Air Tahiti Nui.

« Nous avons développé un business model qui continue de séduire nos clients tahitiens et ceux qui souhaitent visiter la Polynésie » a assuré la directrice générale, Muriel Assouline. Un « business model » qui comprend par ailleurs un partenariat étroit avec Alaska Airlines sur chacune de ses destinations nord-américaines. « Les passagers peuvent acheter un seul billet et avoir accès à des voyages facilités vers et depuis de nombreuses destinations aux États-Unis ».

Pêle-mêle : Atlanta, Las Vegas, Chicago, Denver, Honolulu, Fort Lauderdale, Maui, Nouvelle Orléans, Orlando, Phoenix, Portland, Salt Lake, Seattle ou encore San Diego. L’embarras du choix en somme, que la compagnie veut mettre en avant pour ses passagers hexagonaux et surtout polynésiens, friands des destinations américaines.