L’Agence de l’Outre-mer pour la Mobilité fait le point sur ses dispositifs d’aide dans le cadre du nouveau confinement

L’Agence de l’Outre-mer pour la Mobilité fait le point sur ses dispositifs d’aide dans le cadre du nouveau confinement

L’Agence de l’Outre-mer pour la Mobilité (LADOM) a publié un communiqué de presse ce jeudi 5 novembre afin de faire le point sur ses dispositifs d’aide à la mobilité et à la continuité territoriale, en cette période de restrictions exceptionnelles dues au Covid-19.

L’annonce d’un nouveau confinement en Hexagone et en Martinique a une nouvelle fois perturbé le bon fonctionnement de nombre d’institutions et posé de nouvelles problématiques. Parmi celles-ci, la question des travailleurs et étudiants ultramarins en Hexagone. LADOM, qui intervient en soutien aux résidents d’Outre-mer dans leur projet de mobilité, a ainsi fait le point sur ses dispositifs d’aide, dans ces circonstances de crise sanitaire dont l’issue est encore incertaine.

Passeport pour la mobilité de la formation professionnelle

Dans le cas de figure de la formation pour adultes, les centres de formation professionnelle ont, à ce jour, l’autorisation de rester ouvert et d’assurer la continuité de leur service. Si il est possible que certains organismes fassent le choix d’une poursuite des formations à distance, il n’est dans tous les cas pas prévu de différer ou d’arrêter les formations en cours.

Ainsi, LADOM précise que les demandeurs d’emplois ayant un projet de formation professionnelle en mobilité peuvent continuer à déposer leur dossier normalement. Concernant ceux qui seraient en cours de formation, l’organisme remettra aux personnes concernées une attestation justifiant les déplacements, faisant foi auprès des autorités.

Passeport pour la mobilité des études et l’aide à la continuité territoriale

Les liaisons aériennes étant pour l’heure maintenues entre l’hexagone et les territoires ultramarins, les demandes d’aides et de prise en charge des trajets par le biais de LADOM restent recevables normalement. L’organisme rappelle cependant que, selon le territoire, des restrictions de déplacement peuvent avoir lieu, et que le test PCR réalisé dans les 72h avant l’embarquement reste obligatoire.

Par Damien Chaillot