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Pour la suite des discussions au lendemain du deuxième référendum en Nouvelle-Calédonie, le président du gouvernement calédonien a dit la nécessité « d’intégrer la société civile dans tous ces sujets fondamentaux ».

Thierry Santa était l’invité du journal de Nouvelle-Calédonie la 1ère au lendemain de la visite du ministre Sébastien Lecornu sur l’archipel. Il est notamment revenu sur la méthode des discussions entre les partenaires de l’Accord de Nouméa, qui ont repris la semaine dernière, et ce, dans les six prochains mois. Outre l’implication des politiques, le ministre a demandé « d’intégrer la société civile » à ces discussions.

« On a peut-être tellement concentré nos échanges sur l’avenir institutionnel de la Nouvelle-Calédonie qu’on a perdu la réalité de la situation dans laquelle on se trouve », a reconnu le président du gouvernement calédonien. Citant « les relations régionales et l’axe indo-pacifique, l’économie et la transition écologique », Thierry Santa entend « demander à la société civile de participer à ces discussions ». « En six mois, ça va être très court » a-t-il poursuivi, « mais on va essayer d’arriver à quelque chose de concret ».

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