Le parti présidentiel a désigné 8 référents pour les territoires d’Outre-mer à l’issue d’une consultation menée auprès des comités locaux du mouvement.
» Ce sont les préfets de notre mouvement, ils sont en charge de porter la parole de notre mouvement, d’organiser la vie locale et la coordination avec les comités locaux », a déclaré Arnaud Leroy, membre de la direction collégiale de la République en Marche lors d’une conférence de presse sur la nomination des référents d’Outre-mer. Ces derniers ont été choisis en raison de leur facilité à nouer le dialogue et les discussions. « Nous avons trouvé nos perles » a souligné Arnaud Leroy. A noter que le référent de la Guyane sera nommé d’ici la fin de l’année.
Parmi ces référents, on retrouve des élus comme l’ancienne Sénatrice de Saint-Pierre-et-Miquelon Karine Klaireaux et l’ancienne candidate aux élections législatives pour la circonscription de Saint-Martin et Saint-Barthélémy et Présidente du Groupe Outre-mer au CESE, Inès Bouchaud-Choisy.
Les autres référents sont: Mael Disa (Guadeloupe), Charlotte Gressier (Martinique), Patrick Louis (Nouvelle-Calédonie), Heimana Garbet (Polynésie Française), Aminat Hariti (Mayotte) et Henri Chane Tef (La Réunion).
En plus du réferent Heimana Garbet, le comité local de la République en Marche en Polynésie a aussi nommé Gilda Vaiho, comme membre de droit au Conseil de la République en Marche, en raison de sa fonction de représentante à l’Assemblée territoriale de la Polynésie française, ce qui laisse présager d’une liste La République en Marche aux prochaines territoriales en Polynésie.
A la Réunion, la candidature d’Henri Chane-Tef, à l’origine du premier comité de soutien à Emmanuel Macron, a été préféré à celles de Brigitte Hoarau et de Carine Garcia, qui s’étaient notamment déclarées pour cette fonction.