©MNC
A l’invitation du Comité économique, social et environnemental de Nouvelle-Calédonie, et tout particulièrement de son président Daniel Cornaille, s’est tenue à la Maison de la Nouvelle-Calédonie (MNC) à Paris, ce jeudi 17 mai, une assemblée plénière des comités économiques, sociaux et environnementaux de France métropolitaine et des Outre-mer, a indiqué la représentation calédonienne dans l’Hexagone.
De la Corse à la Guadeloupe, de Saint-Pierre-et-Miquelon à la région Grand Est, la Polynésie française, la Bretagne, La Réunion ou encore Wallis et Futuna, une trentaine des personnalités qui président ou dirigent les CESER de France ont été accueillies ce jeudi 17 mai 2018 sous la Grande case par Joël Viratelle, directeur de la MNC. Avant de commencer leurs travaux, elles ont découvert sous sa houlette, au fil d’une présentation de la symbolique du lieu, toute la richesse et la complexité de l’archipel calédonien. S’étaient joints à eux pour la circonstance Octave Togna et Didier Guenant-Jeanson, membres du Comité économique, social et environnemental national, où ils représentent la Nouvelle-Calédonie.
En respect de la tradition d’accueil de l’Océanie, François-Paul Bufnoir, directeur du CESE-NC, et Daniel Cornaille, son président, avaient amené de Nouvelle-Calédonie de petits sacs tressés calédoniens pour leurs homologues de Métropole et des autres collectivités ultramarines. Laurent Degroote, président du CESER de la région des Hauts-de-France et président de l’assemblée des CESER de France ouvrait ensuite la réunion plénière. Thème central de celle-ci : « L’avenir de tous les conseils consultatifs français et leur évolution dans un contexte de fortes attentes citoyennes face aux mutations économiques, sociales et environnementales en cours ».
Les présidents des CESER ont aussi évoqué les perspectives de développement économique, social et environnemental de la Nouvelle-Calédonie, ajoute le CESER dans un communiqué. La visite récente du président de la République sur l’archipel a notamment mis en lumière la nécessité de développer le tourisme durable et de mieux prendre en compte la progression de la zone indopacifique.