Emmanuel Macron en Inde : La députée de La Réunion Nadia Ramassamy fait partie de la délégation française

Emmanuel Macron en Inde : La députée de La Réunion Nadia Ramassamy fait partie de la délégation française

Depuis le 9 mars, le Président de la République Emmanuel Macron entame une visite d’Etat de trois jours. Il est notamment accompagné de la députée de La Réunion Nadia Ramassamy (Les Républicains).

Dans un communiqué, la députée de la Réunion s’est dit « honorée de pouvoir accompagner le Président de la République dans la délégation officielle en Inde ». Durant ce voyage, les parlementaires français iront à la rencontre du Président Indien, Monsieur Ram Nath Kovind, le Premier ministre Indien, Narendra Modi, la ministre des affaires étrangères indienne, Madame Meira Kumar. « Il est également prévu que la délégation rencontre la population locale et des dignitaires locaux (professeurs d’université, directeurs de musées et mémoriaux) », souligne le communiqué.

Ainsi Nadia Ramassamy ne déroge pas à la liste des députés réunionnais qui ont accompagné un chef d’Etat français lors de son déplacement officiel en Inde. Lors du déplacement de François Hollande en Inde, l’Ancienne Ministre des Outre-mer faisait partie du voyage. Auparavant Jean-Paul Virapoullé sous François Mitterand et Margie Sudre avec Jacques Chirac ont également fait partie de la délégation française en Inde.

Au terme de son premier jour de visite officielle, l’Elysée vient d’annoncer ce samedi la signature d’un contrat de 12 milliards d’euros entre le groupe Safran et la compagnie aérienne à bas prix indienne SpiceJet. Les deux chefs d’Etat ont également salué la signature d’une Vision stratégique commune de la coopération franco-indienne dans la région de l’océan Indien, qui servira de fil conducteur à ce partenariat. Ils ont réaffirmé le rôle essentiel de cette coopération pour maintenir la sécurité des voies maritimes internationales, en vue d’assurer des échanges commerciaux et des communications sans entrave conformément au droit international, de lutter contre le terrorisme et la piraterie maritimes, de renforcer la surveillance du domaine maritime et les capacités, et de mieux coordonner leur action au sein des instances régionales et internationales dans la région.