Le Club Export de La Réunion à l’île Maurice pour vanter le savoir-faire réunionnais

Le Club Export de La Réunion à l’île Maurice pour vanter le savoir-faire réunionnais

A l’initiative du Club export, une association qui accompagne les entreprises réunionnaises qui souhaitent exporter à l’étranger, une délégation de 13 entreprises réunionnaises, deux administrateurs et un permanent du Club Export sont actuellement à l’ile Maurice à l’occasion du séminaire ville durable dans l’Océan Indien. L’occasion de découvrir le rôle de cette association interviewée par notre partenaire RTL Réunion. 

Depuis plus de vingt-ans, cette association accompagne les entreprises réunionnaises qui souhaitent exporter à l’étranger. Si les produits agricoles ou marins sont traditionnellement les plus vendus hors de l’île, le secteur des services commencent à tirer son épingle du jeu.

Pour le président du club Export Laurent Lemaître, la tenue du séminaire de la ville durable dans l’Océan indien est une opportunité pour les représentants du Club export de réseauter avec les représentants de différents marchés.

Travaillant avec plus de 500 entités dans l’Océan indien, le club Export entend faire valoir les atouts de La Réunion dans son bassin régional. En effet, par ces compétences et son savoir-faire, la Réunion possède des atouts que les autres territoires de la zone ou même les entreprises de l’hexagone n’ont pas. Particulièrement lorsqu’il s’agit de technique pour milieu tropical. A l’heure actuelle, les échanges avec les pays de la zone Océan indien ne représentent que 3,5% des échanges globaux de La Réunion. Laurent Lemaître nous précise les pays importateurs des produits et des services réunionnais.

Parmi ces pays, le continent africain constitue un objectif affiché et un marché potentiel pour les membres du club Export.Laurent Lemaître est le président du club export. Il nous explique l’intérêt que représente ce continent.

L’Afrique de l’Est qui, en 2017, n’absorbait que 0,3% du total des export de La Réunion. A l’inverse, 5,6% des importations de l’île viennent d’Afrique.