Covid-19 : La CTG au chevet des hôteliers, des restaurants et des professionnels du tourisme

Covid-19 : La CTG au chevet des hôteliers, des restaurants et des professionnels du tourisme

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Une réunion du comité de crise stratégique du tourisme s’est tenue le 3 juillet à la CTG en présence de Rodolphe Alexandre, président de la CTG, de Rémy Brochard, Sous-Préfet, de Denis Burlot, 2e vice-président de la CTG et des acteurs locaux du secteur, des représentants des finances publiques, de la BPI et de la Caisse des Dépôts.

La crise sanitaire pèse davantage sur l’activité des professionnels de l’hôtellerie et de la restauration. Lors de cette réunion de crise consacrée au plan de relance du secteur, l’exécutif territorial s’est montré très attentif aux préoccupations des acteurs locaux du secteur.
Rodolphe Alexandre s’est dit notamment inquiet quant à la sauvegarde de ce secteur fortement impacté par le contexte sanitaire et par des mesures de plus en plus restrictives prises dans le cadre de la gestion de cette crise. « Je pense notamment à la diminution chaque fois plus importante des plages horaires ne leur permettant d’offrir qu’une partie de leurs services pour certains, et maintenant de facto une forme d’asphyxie du secteur, et pour d’autres d’avoir une activité strictement arrêtée, de manière inévitable» a indiqué Rodolphe Alexandre.

Réunis le 29 juin à la Maison des entreprises de la Guyane, les restaurateurs ont adopté de motion pour faire entendre leurs voix auprès des autorités. Ils réclament dans leur motion la réouverture de leur établissement dans le respect des règles sanitaires, la modification des horaires de couvre-feu pour porter l’heure de fermeture à 23h et la mise en place d’un dispositif de compensation financière pour couvrir les charges fixes.

De son côté, la CTG a rappelé son engagement auprès des professionnels de la restauration, de l’hôtellerie et du tourisme à travers le fonds d’urgence, à hauteur de près de 9 millions d’euros, mais également par le biais d’une participation au volet 2 des aides d’Etat à hauteur de plus d’1 million d’euros.