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Une information qui devrait surtout intéresser les voyageurs calédoniens et polynésiens, particulièrement friands de la destination : la Nouvelle-Zélande va mettre en application, dès le 1eroctobre prochain, son autorisation électronique de voyage (ETA), dont le coût est compris entre 9 et 12 dollars néo-zélandais.
Ainsi, il sera obligatoire pour les voyageurs qui souhaitent se rendre en Nouvelle-Zélande, transit y compris, d’obtenir un « Electronic Travel Authority » (ETA) auprès des services d’immigration et ce, dès le 1eroctobre. Les demandes pour obtenir le visa seront disponibles début juillet. Cet ETA sera valable 2 ans, et coutera 9 dollars néo-zélandais (soit 5,38 euros ou près de 700 francs pacifique) pour les demandes faites via une application mobile, ou 12 dollars néo-zélandais (7,18 euros ou près de 900 francs pacifique) pour les demandes via le site internet. De même, les équipages de compagnies aériennes et de croisière doivent également se munir d’un ETA valable pour 5 ans et au prix de 9 dollars néo-zélandais.
« L’ETA a pour objectif de renforcer la sécurité et réduire les risques liés à l’immigration, s’attaquer aux risques de contrebande et de biosécurité, améliorer l’expérience voyageur, soutenir les relations et accords internationaux de la Nouvelle-Zélande et s’adapter à l’évolution des besoins et des exigences du gouvernement, des intervenants et des voyageurs au fil du temps », indiquent les services d’immigration néo-zélandais. À noter que les voyageurs australiens seront exempts de ce visa, tout comme les invités du gouvernement de la Nouvelle-Zélande et les personnes voyageant dans le cadre du Traité sur l’Antarctique.
